Journey Into Mystery

Journey Into Mystery

"Laisse nous prendre la route ensemble
quand la nuit est si proche de la terre qu'elle en tremble."

Un voyage c'est bien des étapes et des rencontres. Tout comme la vie qui n'est faite que de joie et de séparation, voici le carnet de bord de Fiddler's Green qui aspire simplement au bonheur de retrouver un être aimé.
Tous ces souvenirs se perdront dans l'oubli,
comme les larmes dans la pluie...
- Blade Runner


"Dieu est un comédien jouant devant un public trop effrayé pour rire"
- Voltaire (1694-1778)


ThinkExist.com Quotes
Locations of visitors to this page
Archives
mars 2003
avril 2003
mai 2003
juin 2003
juillet 2003
août 2003
septembre 2003
octobre 2003
novembre 2003
décembre 2003
janvier 2004
février 2004
mars 2004
avril 2004
mai 2004
juin 2004
juillet 2004
août 2004
septembre 2004
octobre 2004
novembre 2004
décembre 2004
janvier 2005
février 2005
mars 2005
avril 2005
mai 2005
juin 2005
juillet 2005
août 2005
septembre 2005
octobre 2005
novembre 2005
décembre 2005
janvier 2006
février 2006
mars 2006
avril 2006
mai 2006
juin 2006
juillet 2006
août 2006
septembre 2006
octobre 2006
novembre 2006
décembre 2006
janvier 2007
février 2007
mars 2007

vendredi, mai 06, 2005

Il y a bien longtemps dans une jeunesse très lointaine...conna
L'ouverture en trompettes de John Williams. Un générique géométrique, le premier plan dans l'espace...

Et le rêve commençait... On connaît tous l'histoire, on connaît ses rebondissements, ses répliques cultes et ce doublage aléatoire (Chiquetaba, par exemple). Pourtant, quand on la regarde beaucoup comme on le faisait en tant que djeunz, on se rend compte du pathétique jeu des acteurs, de personnages stupides commeles Ewoks. Mais on en redemande. Alors que nous nous extasiions sur les effets spéciaux extraordinaires d'ILM, Georges Lucas a ouvert une nouvelle porte qui nous avait toujours été fermée. Nous avions déjà lu cela, nous l’avions joué pour certains mais nous ne l’avions jamais vu.

Et c’est ce qui est unique dans Starwars, au delà des déceptions de la nouvelle trilogie, c’est l’enthousiasme qu’il provoque. Depuis 1977, les fans sont là. Ils font la queue quinze jours avant la sortie, ils sont en costume et vivent autant cet univers. Il n’y a que ce film qui peut provoquer. Même le Seigneur des Anneaux (et tous ici connaissent mon camp) n’a pas engendré ce phénomène. L’histoire est plus complexe et difficile à appréhender que celle avec des vaisseaux qui font du bruit dans l’espace. Starwars a cette simplicité. Les personnages sont sans nuances. Ils sont bons ou mauvais. Ils changent de camp de temps en temps mais les costumes sont de bonnes indications sur qui est avec qui.


Je me rappelle mon premier contact avec le Jedï. Une bande annonce avant un film dont je ne me rappelle plus. J’y suis allé avec un copain et j’ai découvert cette histoire. Les video club commençaient à éclore et avec la bande nous avons loué la Guerre des Etoiles et l’Empire Contre attaque (my favourite one !). Et voilà donc en gros mon histoire avec Starwars. Bien sur, elle ne fut pas sans heurt car à force de trop les regarder, on ne les trouve plus aussi excitants et surtout on en voit que les défauts. Mais alors que l’histoire se clôt, on pardonne tout et j’ai hâte de voir Yoda dans le combat final. Et comment Anakin va devenir (ce salaud de) Darth Vader.
Que la Force soit avec nous une dernière fois...
(Par ici, le lien vers le site des références Starwars)